About

Qui suis-je?

"Il y en a qui ont le coeur si vaste, qu'ils sont toujours en voyage". J. Brel

Je suis ...

Finit-on vraiment par le savoir un jour ?

Sous ses airs simplistes, cette interrogation en soulève tellement d’autres… Elle fut le point de départ de mon chemin et je m’efforce de vouloir y répondre ardemment depuis quelques années… et c’est cadeau !

 

Ce que je suis?

Une passionnée de l’humain qui tente de le comprendre dans toute sa plus belle complexité…

Une investigatrice qui aime aller à la rencontre des autres pour vivre des instants emplis d’authenticité, de sensibilité et de légèreté.

Une exploratrice du vivant qui ne cesse de voyager avec l’envie féroce d’appréhender le monde et de l’admirer.

Une contemplatrice de la vie qui désire vibrer et rire à la moindre occasion…

Une âme libre qui a le besoin de vivre des expériences pour pouvoir les transmettre.

Une idéaliste enthousiaste qui souhaite tisser des liens avec d’autres rêveurs.

Un guide pour tout ceux qui souhaitent cheminer sur le chemin puissant de la connaissance de soi…

Début du parcours...

J’ai travaillé plus de 10 ans à temps plein dans une école du namurois en tant que professeur de français et titulaire d’élèves de 14 ans. Sans le savoir, j’ai aidé inconsciemment des centaines de jeunes à s’orienter car c’est en fin de 2e à l’époque que le système leur demande de faire un choix d’option pour la suite du parcours.

A la fin de chaque année, en réunion de parents, c’était quitte ou double… J’avais face à moi des jeunes qui réussissaient, heureux et la tête pleine de projets, qui avaient envie d’avancer dans une voie qui semblait toute tracée pour eux. Et puis il y avait les autres… Ceux qui se sentaient perdus et angoissés, ceux qui n’avaient pas encore mis le doigt sur ce qui les faisaient vibrer, pas encore pris conscience de leurs réels potentiels ni de leur lumière. Et des discours de parents qu’il fallait déconstruire… Et un système complexe contre lequel je n’avais pas toujours les armes. Chaque fin d’année c’était pareil… Je me sentais parfois remplie de joie pour certains… et tellement impuissante face à d’autres avec lesquels j’aurais tellement eu envie d’avoir un peu plus de temps, pour se poser, réfléchir, ressentir… Mon intuition a toujours été excellente pour lire à travers les gens. Mais elle ne suffisait pas, il me manquait des outils pour transmettre aux jeunes ce que je voyais en eux, leurs fonctionnements.

Du non sens...

Puis vint le covid. 2020, bloquée en Asie, en train d’écrire mon mémoire en sciences de l’éducation sur les MENA qui arrivent en Espagne. Doutes. Angoisses. Que faire… rentrer,  rester, risquer de ne pas présenter ma dernière année de master en Belgique ?

 

Je rentre, suppliée par mes plus grands amis voyageurs, sans emploi et confinée. Le retour en classe est à la fois d’une violence et d’une intensité fracassante. J’ai l’immense chance de pouvoir enseigner la psychologie à des élèves plus âgés grâce à mon master… Mais je me retrouve face à une jeunesse en grande souffrance, dans l’incompréhension du monde la plus totale. Jeunesse à qui l’on demande voire exige de décoller, mais à qui l’on vient de couper les ailes durant de longs mois.

 

C’est le « no sense ». Pour eux, pour moi. Je décide de me tourner vers des outils alternatifs qui questionnent la motivation. Le hasard des rencontres et des voyages susurre le mot « ennéagramme » dans mes oreilles depuis un moment. Outil qui révèle les motivations inconscientes. Je le teste sur moi car pour transmettre, j’ai toujours besoin d’expérimenter.

... au déclic !

Et c’est le déclic… ! Enfin un outil enseigné avec une pédagogie unique, ludique et innovante ! Et puis la claque… ! C’est le premier outil qui pourra éclairer mes propres zones d’ombre et qui me révèlera à moi-même. Je ne peux plus faire semblant… Je quitte tout du jour au lendemain, je prends un sac à dos de 6kg et pars sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle en Espagne. J’enchaîne 900 km jusqu’à l’océan. Je respire (enfin). J’ai peur (tellement). J’entame un chemin de traverse. Pour la première fois de ma vie, après l’avoir fait naturellement pour tant de jeunes inconsciemment, c’est moi que je guide enfin consciemment vers la route qui m’est destinée. Celle pour laquelle je suis faite depuis toujours : lire à travers les jeunes pour éclairer leur route… aider les autres à oser faire un pas de côté.


Je crée Alma.CN 

Almacén (petit entrepôt) : petit entrepôt
Alma (espagnol) : âme
C.N sont mes initiales.

Je désire créer un espace bienveillant dans lequel chacun puisse venir entreposer ses rêves...

Cécile